• L’Iliade et l’Odyssée

     

     
    Portrait imaginaire d'Homère aveugle

     

     

     

    Deux grands poèmes, longs comme des romans modernes, ont depuis des temps immémoriaux fait la joie des Grecs. L’Iliade L’Iliade rapporte un épisode de la guerre menée par Agamemnon contre les Troyens. Ce roi avait été publiquement humilié quand la reine Hélène, la femme de son frère, avait été enlevée par un prince de Troie. Il fallait rappeler au peuple la puissance du roi et écraser l’adversaire. Mes personnages sont dépeints avec vérité, ni totalement bon, ni totalement mauvais. Agamemnon lui-même commet une erreur : il insulte Achille, son meilleur guerrier, en lui prenant une captive. Ce dernier ce retire sous sa tente et laisse les Troyens libres d’attaquer. La violence extrême est décrite avec réalisme, les hommes hurlent de douleur. Achille retourne au combat lorsqu’il apprend que son meilleur ami a été tué par Hector. Il abat ce dernier et traîne son cadavre autour des murs de la ville sous le regard horrifié de ses parents et de ses compagnons d’armes.<o:p></o:p>

    Ulysse, le héros de l’Odyssée, est un homme fort et astucieux. Au cours du voyage qui le ramène de Troie et dure des années, il doit affronter des êtres légendaires. Certains de ses compagnons sont dévorés par le cyclope, un monstre à l’œil unique ; mais Ulysse lui échappe en l’aveuglant avec un pied. Ensuite, son bateau est pris dans un tourbillon et le naufragé reste suspendu à une branche, « tel une chauve-souris », jusqu’à réapparition de l’épave.<o:p></o:p>

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    Les épopées homériques renvoient à une époque archaïque, du –Ier millénaire, où les royautés grecques comme celle de Mycènes subirent des invasions venues du NE et où leur culture aristocratique du se mêler au tempérament commerçant  des sociétés méridionales. Le miracle grec est en partie dû à l’entrelacement des mythes, d’histoires de portraits dramatiques, qui ont nourri la civilisation occidentale, et que domine la figure d’Homère.

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              Les sept cités se prétendant de la patrie d’Homère

    Autour de la Méditerranée et de la mer Egée, sept cités se prétendaient de la patrie d’Homère. Aussi ne peut-on pas des lieux de sa vie. Le poète épique aurait vécu au –IXe siècle, toutefois c’est respectivement aux -VIIIe et -VIIe qu’on situe la composition des deux grands textes, longs comme des romans modernes. Cette ambigüité dans les dates permet de formuler toutes sortes d’hypothèses. Quoi qu’il en soit, on est alors à la fin d’une période troublée commencée avec la chute de la ville de Troie (autour de -1250), et s’achevant avec les premières traces d’écriture alphabétique.

            L’Iliade, compilation

    L’Iliade semble être une compilation géniale des récits mythiques conçue par un ou plusieurs auteurs. On n’y recueille pas détails sur le narrateur, même si son humour et sa compassion transparaissent parfois. D’ailleurs, l’épopée à été célébrée dans toute l’Antiquité pour la noble distance de son style. En revanche, on a remarqué que dans l’Odyssée le ton plus libre, presque profane quand il s’agit des querelles entre les dieux. Composé plus tard, ce second poème sera une création plus personnelle et ironique, une suite subtile truffée de clin d’œil d’un Homère devenu plus réel que légendaire. L’œuvre attribuée à Homère comprend aussi des Hymnes, des prières aux dieux, qui formèrent un discours religieux original et initièrent l’éloquence grecque.

    Homère, poète aveugle

    Il y a un épisode de l’Odyssée où Ulysse assiste incognito au récit de ses propres aventures par un aède, un poète récitant, l’aveugle Demodocos. L’histoire de son départ de Troie et de ses errances en Méditerranée le frappe profondément et forme comme une miniature de l’Odyssée à l’intérieur d’elle-même. Homère parvient, par cet artifice, à se mettre en avant tout en se cachant, comme Ulysse qui voile son visage qui pour masquer ses larmes. Autre écho, le poète Demodocos est lui-même aveugle, comme la tradition le dit d’Homère – mais la tradition vient évidemment du texte…

    L’ascendance mythique

    « Grand éducateur de la Grèce », premier auteur de la littérature occidentale, premier romancier de l’histoire : Homère pourrait être tout cela pour peu qu’il est réellement existé.  Evoquer la figure du poète parmi celle des héros mythologique n’est pas exagéré puisque sa célébrité l’a presque déifié (c’est-à-dire divinisé, le rendre à l’objet d’un culte).A cet homme que l’on prétend historique, la tradition donna le fleuve Méles et la nymphe Crétheis pour parents, faisant remonter sa lignée à Orphée et Apollon lui-même, Dieu de la Clarté et de la Raison créatrice (voir Les Olymiens).

    L’écrivain Plutarque vers 50à 125de notre ère) rapporte, lui, que la mère d’Homère, mise enceinte par un génie de la suite des Muses, se réfugia sur l’île d’Ios, puis fut emportée par des corsaires et offerte comme concubine au roi de Lydie (en Asie Mineure).

    Le civilisateur

    L’œuvre d’Homère est autant la mémoire des combats passés, des invasions, de la chute de Troie, qu’une perception nouvelle du monde, plus rationnelle. Le mythe n’y est pas transcrit sans recul : on voit se former dans le geste des héros les grandes valeurs du monde grec, le courage, la compétition pour l’honneur, en même temps que le rassemblement politique des hommes dans les cités et le déclin des tyrans. Homère offrit ainsi à tous les Grecs un apprentissage historique, politique et moral.

    Homère et Hésiode

    Dans sa vie itinérante d’aède, Homère aurait gagné des concours de poésie. S’étant rendu à Chalcis pour des célébrations royales, il y rencontra le grand Hésiode, autre poète unanimement vénéré, et se livre à une forme de compétition littéraire. Cette joute opératoire prit la forme d’un échange de questions et de réponses sur le thème des vertus et du destin de l’homme. Choisissant une forme de vers, Hésiode posait une question à laquelle Homère improvisait une réponse dans le même rythme. Ce dernier produisit des vers d’une excellence telle qu’ils furent ensuite employés lors des cérémonies religieuses et cités comme des « paroles dorées » dans toute la Grèce.

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    Tué par une énigme ?

    On raconte qu’un jour, au sanctuaire de Delphes, Homère questionna l’oracle d’Apollon sur ses parents. La Pythie lui parla d’Ios, d’où il venait et devait finir ses jours, et le mis en garde contre les énigmes. Justement, Homère serait mort de désespoir de n’avoir pas su répondre à une énigme que lui soumirent deux jeunes pêcheurs : «  Nous avons jeté ce que nous avons pris, et nous rapportons ce que nous n’avons pu prendre ». Ils voulaient parler des poux dont ils s’étaient débarrassés et de ceux qui étaient encore sur eux car ils ne les avaient pas trouvés.

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    Version dico NP

    Homère, l’Iliade (F2)

    Intro

    L’Iliade rapporte un épisode de la guerre menée par Agamemnon contre les Troyens. Ce roi avait été publiquement humilié quand la reine Hélène, la femme de son frère, avait été enlevée par un prince de Troie. Il fallait rappeler au peuple la puissance du roi et écraser l’adversaire. Mes personnages sont dépeints avec vérité, ni totalement bon, ni totalement mauvais. Agamemnon lui-même commet une erreur : il insulte Achille, son meilleur guerrier, en lui prenant une captive. Ce dernier ce retire sous sa tente et laisse les Troyens libres d’attaquer. La violence extrême est décrite avec réalisme, les hommes hurlent de douleur. Achille retourne au combat lorsqu’il apprend que son meilleur ami a été tué par Hector. Il abat ce dernier et traîne son cadavre autour des murs de la ville sous le regard horrifié de ses parents et de ses compagnons d’armes.<o:p></o:p>

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    L’Iliade est un poème épique en vers, composé de vingt-quatre chants. Sa rédaction peut aujourd’hui être datée vers le -VIIIe siècle. Le texte, plein de vie, foisonne d’émotion, de grandeur et de tendresse, malgré la distance imposée par le style épique. Depuis l’Antiquité, il parle à l’âme des hommes.

    L’épopée de L’Iliade tir son intitulé du mot Ilion, ancien nom de la ville de Troie, mi-légendaire mi réelle. Il conte les malheurs de l’orgueilleuse cité – située sur les rivages méditerranéens d’Asie Mineure, dans l’ancienne Turquie – qu’une guerre oppose aux armées grecques, vers -1000.

    Vestiges des remparts de Troie, la cité disparue.<o:p></o:p>

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    La discorde s’installe entre Achille et le roi Agamemnon

    Le contexte nous renvoie donc à des évènements forts lointains, au cœur d’un conflit sanglant et mouvementé. L’action se passe au cours de la neuvième année du siège de Troie par les Achéens, venus faire justice par les armes après l’enlèvement d’Hélène, épouse du roi de Sparte Ménélas, par le prince troyen Pâris.

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    Au moment où débute le récit, la peste cause des ravages dans le camp des soldats grecs. Des bataillons entiers de courageux guerriers sont décimés par l’affreuse épidémie. C’est le terrible châtiment du d’Apollon. Il veut ainsi punir Agamemnon, qui a pris pour esclave Chryséis, une des prêtresses troyennes du dieu. Agamemnon consent à rendre la liberté à Chryséis, à la condition qu’Achille lui cède Briséis, la belle captive qui lui était échue. Achille, le meilleur des Achéens, est profondément indigné. Il décide de se retirer sous sa tente et refuse de combattre.

    La colère d’Achille a de funestes conséquences

    L’absence d’Achille a des conséquences pires que la désertion de centaines de guerriers. Sur le front, l’armée grecque fortement handicapée par son absence, n’est pas sûre de sa force et perd peu à peu toute motivation. Les Achéens subissent défaite sur défaite, et tombent de plus en plus nombreux sous les coups de l’ennemi. Agamemnon propose alors à Achille de lui rendre Briséis, mais le héros, debout sur le pont de son navire, observe sans broncher la déroute de ses compatriotes. N’y tenant plus, son ami Patrocle le supplie de lui prêter son armure et de le laisser combattre à sa place. Achille obtempère de mauvaise grâce.

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    Hélas ! Après quelques actions bien menées, Patrocle finit par succomber face au Troyen Hector. La douleur d’Achille est immense. Les cris qu’il pousse près du bûcher funéraire de son ami le plus cher suffisent à faire fuir les troyens. Tout son être n’aspire plus qu’aux représailles.

    La vengeance du héros sera à la hauteur de son malheur

    Les événements narrés dans l’Iliade sont arbitrés par les dieux. Apollon et Aphrodite défendent les Troyens, tandis qu’Héra et Athéna prennent le parti des Grecs. A chaque instant, l’action des hommes peut être modifiée par l’intervention des dieux qui, eux-mêmes, sont en conflit, sous l’arbitrage suprême de Zeus.

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    Ainsi, avec de nouvelles armes forgées par le dieu Héphaïstos, Achille repart au combat et ne tarde pas à faire des ravages dans les rangs ennemis.  Toutefois, celui qu’il doit tuer est le vainqueur de Patrocle, Hector, le plus grand des héros troyens. Les deux guerriers font trois fois le tour de la ville, Achille poursuivant son ennemi qui, malgré sa bravoure, se dérobe.

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    Pourtant, déjà Zeus a décidé qu’Hector tomberait sous les coups d’Achille. Sans se faire connaître, Athéna  conseille à Hector de faire front à Achille, qui le tue. Le jour des funérailles de Patrocle, Achille traine le corps de son ennemi autour du tombeau de son ami. Il n’y aura que Thétis, sa mère, pour le convaincre de cesser son macabre manège et de rendre la dépouille d’Hector à son père Priam.

    Comment Homère exprime son génie

    Les événements relatés dans l’Iliade ne couvrent que deux mois, une très petite partie de l’interminable guerre de Troie : le siège des murailles impénétrables de la citadelle par l’armée grecque aura en effet duré plus de dix ans ! Cependant le récit est constitué de telle manière que nous apprenons au fil de ces quelques semaines l’essentiel de ce qui s’est déroulé tout au long de la guerre.

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    En un sens, donc, l’Iliade raconte bien l’histoire du siège de Troie, et nous informe, en dehors de l’action qui se déroule sous nos yeux, sur la cause de la guerre, l’organisation du champ de bataille, la composition des troupes achéennes, les occupations des Troyens assiégés, ainsi que celles des assiégeants.

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    Un aspect sans doute très populaire de l’épopée homérique réside dans son caractère imagé, qui se traduit par l’abondance des épithètes  et des comparaisons. Au nom des dieux sont rattachés des qualificatifs récurrents : Poséidon est « l’ébranleur de sol », Zeus « l’assembleur de nuées », etc. Le texte revêt ainsi une tonalité noble, sans être rigide. Il n’est pas étonnant qu’il ait inspiré nombre de tragédiens modernes.

    Ronsard et l’épopée homérique

    Je veux lire en trois jours l’Iliade d’Homère<o:p></o:p>

    Et pour ce, Corydon, ferme bien l’huis sur moi<o:p></o:p>

    Si rien me vient troubler, je t’assure ma foi<o:p></o:p>

    Tu sentiras combien pesante est ma colère<o:p></o:p>

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    Ronsard affirme ainsi la passion des hommes de la Renaissance pour les textes antiques, et on imagine que cette colère terrible que Ronsard réserve à son serviteur n’a d’autre modèle que celle d’Achille. Pourtant, à la fin du poème s’adressant à Cassandre, l’aimée du moment, Ronsard exige de son serviteur qu’il n’ouvre la porte qu’à un envoyé de sa belle, et inscrit sa demande en termes mélodramatiques :

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    Au reste, si un dieu voulait pour moi descendre<o:p></o:p>

    Du ciel, ferme la porte et ne le laisse entrer.<o:p></o:p>

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    Pour intro et chapitre des aèdes : les deux sous chap soulignés ci-dessous<o:p></o:p>

    Une épopée tragique

    Les héros de l’Iliade sont certes plus grands que les hommes, mais les conflits qui les opposent rappellent fort ce qui fait le quotidien des hommes de l’Antiquité. L’épopée permet de chanter l’intensité de la vie, la gloire au combat, la profondeur de l’amitié, la noblesse des sentiments. Mais c’est, en fin de compte, la destinée tragique des héros qui porte cette  intensité à son comble et lui assure l’éternité poétique.

    Les conteurs anciens de l’Iliade

    Les aèdes, ces poètes grecs du temps d’Homère qui récitaient ou chantaient au son de la lyre, devaient capter l’intention de leur auditoire en psalmodiant les vers du poème homérique. Par son rythme, il se prêtait à merveille au récit oral et créait un type de poésie incantatoire au caractère magique et sacré. Epopée populaire s’il en fut, l’Iliade occupe dans la culture gréco-romaine une place aussi importante que la bible dans la civilisation judéo-chrétienne.

    Grandes étapes de la guerre de Troie (F1)

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    Si la guerre de Troie a quelque fondement historique, (1) son récit possède tous les caractères d’une légende. A l’origine, il y a le jugement de Pâris. Sollicité pour aritrer un concours de beauté entre les déesses Héra, Athéna et Aphrodite, le jeune prince troyen choisit cette dernière. Aphrodite lui offre en récompense l’amour de la belle Hélène, l’épouse du roi Ménélas. L’enlèvement de la reine rend inévitable la guerre entre Troyens et Achéens.

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    Les Achéens embarquent pour Troie (2) et assiègent la ville, mais ils savent que sans Achille ils ne parviendront pas à vaincre. Inquiète, Thétis, la mère d’Achille, l’envoie chez Lycomède, roi de Scyros, qui le déguise en fille et l’enferme dans le gynécée, le quartier des femmes, jusqu’à ce qu’Ulysse vienne le débusquer. Achille s’empresse alors de rejoindre les siens au front/ Vaillant au combat, il s’illustre par une légendaire colère, abandonne les siens à leur sort, puis reprend les armes pour venger la mort de son ami Patrocle, en tuant le héros troyen Hector.

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    Le siège de Troie s’éternise, et l’armée grecque semble incapable d’emporter la victoire. Une fois encore, Ulysse vole à son secours. Grâce au stratagème imaginé par le héros, les Troyens, malgré les funestes prédictions de Cassandre, laissent entrer dans leurs murs un immense cheval de bois que l’armée grecque semble avoir abandonné, mais dans lequel sont cachés des centaines de guerriers.

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    La ville de Troie est incendiée, saccagée, et sa population massacrée ou réduite en esclavage (3). Les Achéens rentrent chez eux en héros, emportant captifs et captives. Le voyage du retour est, pour beaucoup, long et difficile. Ulysse, par exemple, ne rejoindra Ithaque que dix ans plus tard.

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    1 Depuis l’Antiquité, les historiens grecs s’interrogent sur la véracité de la guerre de Troie. A la fin du XIXe siècle, l’archéologue allemand dont il est déjà question au chapitre du site de Mycènes : Heinrich Schliemann, découvre, sur la colline d’Hissarlik, en Turquie, un site constitué de neuf étages d’habitations, le plus ancien datant du IVe millénaire avant notre ère. L’un des « niveaux » de la ville, présente des traces d’incendie qui pourraient évoquer la fin du siège de Troie. On y a découvert des objets en céramique caractéristiques des peuples thraces, ainsi que des jarres emplies de provisions, ce qui a amené certains chercheurs à penser que la population se préparait à tenir un siège.

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    2 Une vache est à l’origine de Troie

    La tradition veut que la ville de Troie, capitale de la Troade, ait été fondée par Ilos, fils de Tros, d’où viendraient les deux noms d’Ilion et de Troie. Ilos ayant gagné un concours sportif, il reçut en récompense une vache qui devait lui indiquer le lieu où fonder la ville. La vache arrêta sa course dans la plaine de Scamandre. La faveur de Zeus fut ensuite assurée à Ilos qui lui offrit une statue d’Athéna, le Palladion. Celle-ci devait devenir l’image protectrice jusqu’à ce qu’Ulysse la dérobe au cours du siège de Troie.

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    Guerre de Troie, le jugement de Pâris (F2)

    Le jeune berger Pâris, prince troyen, a été désigné pour une mission bien difficile : seul membre d’un jury, il doit choisir, parmi trois impressionnantes déesses, Héra, Athéna et Aphrodite, celle à qui il décernera la palme de la beauté. Chacune de ces déesses lui promet une récompense en échange du prix de la beauté, mais Pâris sait qu’en désigner une, c’est s’attirer le courroux des deux autres.

    Guerre de Troie, l’enlèvement d’Hélène (F3)

    Guerre de Troie, le cheval de Troie (F8)

    Achille, les deux Ajax (F5)

    Les Troyens, Hector (F4)

    Les Troyens, les prophéties de Cassandre (F5)

    Homère, l’Odyssée (F3)

    Ulysse, le héros de l’Odyssée, est un homme fort et astucieux. Au cours du voyage qui le ramène de Troie et dure des années, il doit affronter des êtres légendaires. Certains de ses compagnons sont dévorés par le cyclope, un monstre à l’œil unique ; mais Ulysse lui échappe en l’aveuglant avec un pied. Ensuite, son bateau est pris dans un tourbillon et le naufragé reste suspendu à une branche, « tel une chauve-souris », jusqu’à réapparition de l’épave.<o:p></o:p>

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    Ulysse et les sirènes, vase attique à figure rouge, entre VIème et Vème siècle avant J.-C. British Museum à Londres.<o:p></o:p>

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    Ulysse, … et le Cyclope (F6)

    Ulysse, Calypso (F8 et F11)

    Ulysse, le chant des sirènes (F9)

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    Vestiges des remparts de Troie, la cité disparue.<o:p></o:p>


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